JEUDIS DE ROCHES BRUNES – MUSIQUE Classique
Éos était la déesse de l’Aurore, identifiée à la déesse Aurore des Romains. Selon Homère, qui la surnomme la « déesse aux doigts de rose ». La rencontre du Violoncelle et de l’Accordéon par deux jeunes artistes dont les sonorités virevoltantes s’entremêlent à leur envie de partager un instant d’émotion. L’histoire du Duo EØS commence en 2008 à Toulouse. Angel Villart accordéoniste et Louis-Guillaume Challain-Ferret violoncelliste se rencontrent dans les locaux du Conservatoire de Toulouse, au cours de leur formation en horaires aménagés qui leur permet de se consacrer à leur Art. Ils y découvrent un répertoire riche et varié qui se déploie du classique au contemporain notamment par le biais de leur apprentissage de la musique de chambre en Formation Sonate avec leur professeur Guy Ferla. En 2015, ils obtiennent leur prix de musique de chambre. Une fois leurs diplômes obtenus au CRR de la ville rose, ils intègrent chacun leur tour le Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Dès lors leur parcours respectif se traduit par des productions dans différentes régions et festivals (Radio France Occitanie Montpellier, les Fiéffées Musiciens, Jeunes Talents) et des passages sur les ondes radio (France Musique, l’Agenda de l’été – Saskia de Ville).
Leur répertoire s’articule autour de J.S. Bach, C. Saint Saens, G. Fauré, S.Rachmaninov, A. Piazzola, D.Chostakovitch, R. Galliano et bien d’autres compositeurs. Un ensemble de compositions invitant les spectateurs à une pérégrination à travers le monde et les époques. L’alliance harmonieuse de ces instruments aux timbres différents permet au duo d’offrir une découverte inédite de la musique. Le Duo a obtenu diverses récompenses, un Premier Prix au Concours National de l’UNAF et également un 1er Prix au Concours International des jeunes talents en Normandie. Plus récemment, ils intègrent la classe Master Musique de Chambre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris avec pour professeur Emmanuelle Bertrand et François Salque.
Ce trio nous entraîne dans un voyage intimiste et jubilatoire en hommage aux grands du jazz. Une rencontre musicale et humaine autour des standards qui laisse libre cours à l’expression, leur thème de prédilection.
Sur scène ils jouent les contrastes, l’engagement et la virtuosité côtoient l’inspiration et la délicatesse. Musiciens accompli et reconnu pour s’être illustrés dans de nombreux clubs et festivals, ils maîtrisent parfaitement l’équilibre entre liberté et complicité, l’art de l’improvisation que ces trois musiciens affectionnent particulièrement.
Deva trio est avant tout une histoire d’amitié, de rire, de musique partagée. Alan et Antoine sont des enfants de la musique traditionnelle, Christine de la musique classique. Comment se rencontrer alors? Avec quelle musique? Et voici naturellement la rencontre entre l’amour des jigs et la beauté d’une sonate. Ensemble ils cherchent, arrangent, composent. Les mélodies et rythmes voyagent de Bach à l’Irlande avec une fluidité déconcertante. L’énergie du trio est communicative, ils se régalent et cela se sent et s’entend.Rappelons que Bach était payé par l’impôt sur la bière, le croiser dans un pub ne serait pas si surprenant !
JEUDIS DE ROCHES BRUNES – MUSIQUES ACTUELLES
De sa guitare et d’une voix singulière et captivante, elle parcourt avec talent des paysages poétiques, une indie-pop déclinée au féminin, intimiste et onirique, inspirée de Feist, Portishead ou encore Anne Sylvestre. Laissant libre cours à sa parole, elle vient sans détour et avec délicatesse peindre le tableau d’une fille d’aujourd’hui, aussi libre que le vent. Avec « Une fille », Laura Cahen signe plus qu’un deuxième album. C’est un manifeste. Une affirmation d’elle-même, sans détours, de sa personnalité artistique comme de sa sexualité. Elle n’a jamais aussi bien chanté, et, surtout, ne s’est jamais aussi bien racontée.
Avant la sortie de l’album et la nouvelle tournée, les deux frangins d’Archimède partent déjà sur la route pour y distiller des exclusivités, au programme tout au long de l’année 2023, une série de rencontres et de concerts intimistes en formule acoustique conçue pour créer des moments de proximité, d’échange et de découverte avec leur public qui ne leur fait pas défaut depuis leur début !
Archimède c’est 5 albums entre 2009 et 2011 ; deux nominations aux Victoires de la Musique pour « Album révélation » pour Archimède puis « Album Rock » pour Trafalgar ; de multiple passages en radio avec des titres comme L’été revient, Le Bonheur, Je Prends, Julia, Ça Fly Away… ; plusieurs passage dans Taratata ; l’intérêt des critiques (deux fois double pages dans Libé, article dans Le Parisien, ouest-France, Le Figaro, cf dossier de presse) ; collaboration avec Johnny Hallyday (A l’Abri du Monde), Aldebert, Bénabar, Dove Attia, Benoît Dorémus,…
Je n’ai plus peur de danser. C’est avec ces quelques mots que ça a commencé. Ça peut paraître anodin, mais ne plus avoir peur de danser, c’est accepter d’être regardé, de lâcher prise et faire fi du regard des autres. C’est accepter sa gestuelle et se sentir libre, se montrer sans artifice pour crier son bonheur d’être là. C’est accepter de dire « Je ». C’est ce « Je » qui nourrit depuis quelques mois chez Pierre Guénard, ce besoin de chanter sous son propre nom et donc de s’aventurer seul après deux albums de Radio Elvis.
Et puisqu’il se lance sur la piste, il dit tout ! Sans filtre, comme autant de confidences à un ami. Au fil des chansons, Pierre se livre simplement, tel qu’il est, dans une écriture proche du journal de bord qui ne cherche que l’essentiel. C’est cru, presque impudique, mais toujours sincère.
